Mon cœur de mille amants.©Ce texte est protégé par un copyright.
Tu baisses tes yeux noirs. Et ces reflets sur ta peau claire.
Et ces sentiments amoureux, que tu as nourri dans tes rêves imaginaires !
Sans doute Laure et déesse . Dévoilant son jeune sein.
Mon amour ? ton amant et ici, éclairé par un ciel pompéien.
La beauté de ton corps, s'élèvera-t-elle davantage.
Ce n'est pas (le sais-tu ?) Que déjà dans le bocage.
Quelque voile de nymphe est tombé pour toi.
Ce n'est pas cela seul, qui se distingue chez moi.
Tu souris ? tu rougis ? Que ta joue est brillante !
Que tes lèvres sont vermeilles et ta peau transparente !
N'es-tu pas Laure, avec tes désirs si chers ?
Quand mes vers te chante l'amour, l'amour de ta chair ?
Et naissait de nos deux corps, éclairée d'une étoile immortelle,
Entr'ouvrit ton corps, à l'écorce éternelle ?
Tu étais l'âme d'une mater dolorosa, oh ! tes yeux sont charmants,
Belle Laure, aime-moi. Mon cœur de mille amants.
Tu rejetas mille fois mon amour, dans ta poursuite enflammée ;
Mais toi seul tu n'aimes que moi, et j'ai besoin d'être aimée.
Vois-tu sur la colline... vois-tu ceci ?... vois-tu cela ?..
Ha ce moment ! Je viendrais vers toi, si tu voulais m'aimer, tout cela sera à toi. .
Mon amour, aime-moi. Sur l'herbe chaque soir,
Au coucher du soleil, nous viendrons nous asseoir. »
Et je ferai ceci et cela pour te plaire.
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