Lointain chemin, ces feux matins
Aux souvenirs , mort du phénix
Se rappeler et oublier,
Qu’il exista , qu’il n’est plus là.
Lointain matin , tendre la main,
Dans le métal et la silice,
Se murmurer et susurrer.
Nul la Forgeât, là son trépas
Le temps de dire, l’envie de faire.
Mort des repères, d’une existence,
De l’ insouciance.
Ce monde avide, de foi livide
Dans les méandres c'est corrompu.
Par omission et tentation,
Cupidité la main tendue,
Dans l’avarice il s’est repu.
Lointain chagrin rappelle-toi,
Que dans tes bras me suis tenté,
Tendre le vin et se défaire,
Des mots cupides, tristesse amère
Blessé, blessant mais pardonnés,
L’homme est méchant c’est sa nature,
Le voir changer,le dénature.
Le vil espoir,
Mais j’ose y croire
Qu’un jour ou l’autre,
Nous partirons,
Nous dormirons,
L’un contre l’autre.
Toi mon amie,
La gentillesse.
Vincent BELARIBI
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