Par silverfox199
Texte daté de 2011/12/17
Inspiré du poème afflu/influ de nouga, une réflexion bien personnelle sur le désormais célèbre printemps arabe...
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Panarabe vague©Ce texte est protégé par un copyright.
Crasse, taches, graffitis rouge sang
Le massacre, vu d'ici, fût sanglant
Et l'affluence subie l'influence
De gré, de force, d'oppression l'essence
De printemps de Prague, à printemps arabe
L'histoire se répète, la roue tourne
Se meurent les tyrans quand vient le temps
Mais damné à perpette, la ristourne
De panarabe vague est portée la trabe
Et de Julien Francoeur,
Les mots j'emprunterai
Car ça m'arrache le coeur :
« Traducteurs traduisez »
Ghjslain
Commentaires (2)
Posté par
silverfox199
le 17/12/2011
Mais Oh ! Combien inutile l'étincelle
Aura-t-elle été, si d'emblée elle
Est étouffée dans l'oeuf de l'insidieuse
Confrérie, tyrannie tout aussi odieuse
Chimères non pas de l'Élyzée
Misère, de grâce, traduisez
Ghjslain
Aura-t-elle été, si d'emblée elle
Est étouffée dans l'oeuf de l'insidieuse
Confrérie, tyrannie tout aussi odieuse
Chimères non pas de l'Élyzée
Misère, de grâce, traduisez
Ghjslain
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c'est toujours au printemps que les révolutions commencent, est ce la seve de cette saison qui donne la force et la vigueur necessaire à la rebellion
ce qui est certain, c'est la détermination quand elle est en marche, l'après est souvent laborieux , mais l'étincelle de depart est la plus belle