Quand tu veillais sur mes Nuits©Ce texte est protégé par un copyright.
Tu étais ma lumière, tu éclairais mes jours,
Tu étais mon bon ange et veillais sur mes nuits.
Pour vivre à tes côtés, nul besoin de discours,
Loin des soucis anciens et du temps qui s’enfuit.
La douleur est un cri qui vient de l’intérieur,
Douleur endormie parfois mais jamais éteinte,
Jusqu’à ce que je rejoigne ta dernière demeure,
Lovée au cœur de mon cœur, scelle son empreinte.
Si la douleur ancienne peut paraître dormir,
Elle sait s’éveiller à la moindre évocation.
Jusqu’au bonheur des autres, tout me fait souffrir.
Malheur de moi, abandonnée, en perdition…
Je t’ai tant aimé et d’ailleurs je t’aime encore,
Même disparu, même mort, même dissout.
D’ailleurs, tu revis lorsqu’un souvenir me mord,
Ton aura veille et embrase mon cœur amadou.
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