quatre heure
Quatre heures du matin est une part de temps que j'aime ou qui m'aime depuis l'âge où les châteaux allumaient leurs cuisines d'aube.
J'entends les pas du vieux Dédé prouver le réveil. Les escaliers coulent mes pieds nus.
Il faut très vite monter, descendre, monter, descendre, pour mériter le matin. Fais attention,
tu as oublié tes paupières, me dit Dédé. Ça ne te regarde pas, dis-je.
Déjà, on apprend un nouveau chemin saigné par la fougère.
Commentaires (4)
Posté par
LE SOLATIER
le 23/10/2011
Un texte un peu à la Douglas Adams par son côté un peu fou qui nous fait chercher à côté de la plaque. J'ai visité votre site et j'ai vraiment été emballée par cette richesse culturelle quelquefois tordeuse de cerveaux
Posté par
nouga
le 23/10/2011
Dedé se mele de quoi , non mais owwwwwwwwwwwwwwww
Posté par
On'X
le 28/10/2011
Chercher la part de temps qui nous aime : quête onirique.
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Même le dimanche.
La lune, en son dernier petit croissant, nous saluait gaiement dans le ciel rose et humide, en cette fraiche aube d'automne.
Point de rougeur fractalesque pour accompagner nos pas ici mais le vent, intime et doux, en caresse sur nos visages.
Merci.