Par silverfox199
Texte daté de 2011/03/05
Faisant suite à votre écrit, très chère...
Afficher l'illustration
Quel bonheur©Ce texte est protégé par un copyright.
Quel bonheur, chère Hélène
Vos mots, tant m'émerveillent
Jamais mots ne m'ont paru plus doux
Ils n'ont d'égaux que vos atouts
Je ne peux que m'empresser
De venir vous assurer
Qu'à jamais mon coeur vous est acquis
Et que de vous lire, c'est exquis
À me retrouver sur votre court
Ardemment, je vous ferai la cour
Et vous m'en verrez ravi
Aussi, point ne veut circonscrire
Mon rival objet de vos désirs
Tant que mon coeur est servi
Isatis, 5 mars 2011
Commentaires (4)
Posté par
hélène
le 05/03/2011
Me voilà satisfaite ! Mais, cher Ghislain, par trois frois déjà, je vous ai demandé, dedans des commentaires, si vous êtes un des nos lointains cousins hibernant à Gatineau, contrée francophone que je connais pour y être allée ?
Posté par
silverfox199
le 07/03/2011
Mille fois pardon
Par trois fois, chère cousine
Vous m'en voyez navré
Pour vous je vous enverrais
Bien chercher en limousine
Si de ces lignes je ne vous avais
Déjà confirmé effectivement
Qu'en Outaouais, oh oui ! Je demeurais
Mais qu'une seule fois, avant, pourtant
J'ai retrouvé ici cette question
Je me suis empressé d'y répondre
Alors pour une deuxième fois, pardon
Mille fois mais ne puis m'y confondre
Ghjslain
Par trois fois, chère cousine
Vous m'en voyez navré
Pour vous je vous enverrais
Bien chercher en limousine
Si de ces lignes je ne vous avais
Déjà confirmé effectivement
Qu'en Outaouais, oh oui ! Je demeurais
Mais qu'une seule fois, avant, pourtant
J'ai retrouvé ici cette question
Je me suis empressé d'y répondre
Alors pour une deuxième fois, pardon
Mille fois mais ne puis m'y confondre
Ghjslain
Posté par
hélène
le 07/03/2011
Pas de souci, ami, avec la multiplicit" des textes et des commentaires, nous somms tellement prolixes, qu'il n'est pas toujours évident de s'y retrouver.
Posté par
silverfox199
le 10/03/2011
Tu as parfaitement raison
Et j'ai le chic pour me rendre ridicule
Après ce poème en pâmoison
On en perd la mémoire, ou même la raison
Mon cerveau, pauvre et malade vésicule
Déjà n'est plus qu'un vulgaire pédicule
À vous lire sur votre blog je constate
Que vous êtes très prolifique
Tant qu'à moi, en témoignent mes stats
Je ne suis en effet que prolixe
Ghjslain
Et j'ai le chic pour me rendre ridicule
Après ce poème en pâmoison
On en perd la mémoire, ou même la raison
Mon cerveau, pauvre et malade vésicule
Déjà n'est plus qu'un vulgaire pédicule
À vous lire sur votre blog je constate
Que vous êtes très prolifique
Tant qu'à moi, en témoignent mes stats
Je ne suis en effet que prolixe
Ghjslain
Ajouter un
commentaire
commentaire