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Sale Mai...©Ce texte est protégé par un copyright.
Frère discret de nos révoltes
Grand frère de mes dix-huit ans
On n’a pas vu passer le temps
Mais qui l’a jamais vu passer
Qui en a jamais eu assez
A l’amour en revient la faute
-Mai, je m’en vais te détester
Toi qui
Pleus sur la mort de Moustaki
Fils du soleil, soleil lui-même
Fils de ce radieux mois de Mai
Qui l’aimait et puis qu’il aimait
Qui pour le coup a fait faux bond
A ton splendide moribond
Je ne dirai plus « Mai je t’aime »
-Mai je m’en vais te détester
Toi qui
Pleus sur la mort de Moustaki
Ce texte figure dans la sélection de Sylise
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