Sens perdus©Ce texte est protégé par un copyright.
Ainsi Dieu m'a donné, faculté de penser
Pour ce bien si précieux, je le prie et rends grâce
Pour le moins très heureux, je souris à mon art
Insidieux, pardonné, occulté, dispensé
De vers parfois faciles, aux qualités précaires
Je me vois limité, dans mes élans d'orgueil
Voulant point irriter, hommes ou femmes Seigneur
D'envers ces fois où cils, voient sourciller paupières
Toutefois c'est travail, acharné et ardu
D'y insérer message, aux sens ou à l'esprit
Me faut-il être sage et sans autr' parti pris
J'ai voulu respecter, ici maintes contraintes
Et au sus, prospecter par-ci par-là m'astreindre
Forme et césure que vaillent, écharner sens perdus
Isatis, 27 février 2011
Commentaires (5)
Posté par
Gilbert
le 06/03/2011
Bravo pour tes césures, cher Ghislain (je n'avais pas lu ton petit commentaire du début).
Césure, hémistiche... Ce que l'on s'en fiche
Il vaut mieux en rire... tu vas me maudire:
Pour clôturer un beau débat
Sur une question assez folle
Portant sur histoire de grolles,
Je te dirais ne t-en fais pas:
Il n'est facile, ou je me trompe,
De trouver chaussure à son pied;
Restes dans tes petits souliers
Lorsque l'on marche sur tes pompes.
Césure, hémistiche... Ce que l'on s'en fiche
Il vaut mieux en rire... tu vas me maudire:
Pour clôturer un beau débat
Sur une question assez folle
Portant sur histoire de grolles,
Je te dirais ne t-en fais pas:
Il n'est facile, ou je me trompe,
De trouver chaussure à son pied;
Restes dans tes petits souliers
Lorsque l'on marche sur tes pompes.
Posté par
Doristil01
le 10/03/2011
Je ne voulais rien ajouter
Pour qu'on ne crie pas: Au voleur !
Mais en restant la bouche bée
Je passerai pour un menteur.
Pardonnez-moi mon intrusion
Dans ce jardin dont la beauté
Fait bien penser à la moisson
Qui d'ici peu va arriver.
Ce qu'il fait dans tous mes poèmes:
Effacer les fautes les plus bêtes
Il l'a pourtant vécu lui-même:
Quelqu'un lui a payé ses dettes.
Tu n'arrêtes pas de nous surprendre
Toi qu'on surnomme LOUP ARGENTÉ.
Pour ceux qui tardent à le comprendre:
Tu n'ignores pas la piété !
Pour qu'on ne crie pas: Au voleur !
Mais en restant la bouche bée
Je passerai pour un menteur.
Pardonnez-moi mon intrusion
Dans ce jardin dont la beauté
Fait bien penser à la moisson
Qui d'ici peu va arriver.
Ce qu'il fait dans tous mes poèmes:
Effacer les fautes les plus bêtes
Il l'a pourtant vécu lui-même:
Quelqu'un lui a payé ses dettes.
Tu n'arrêtes pas de nous surprendre
Toi qu'on surnomme LOUP ARGENTÉ.
Pour ceux qui tardent à le comprendre:
Tu n'ignores pas la piété !
Posté par
silverfox199
le 31/03/2011
Merci pour ton commentaire Franck
Si je n'ai pu t'écrire avant
C'est que souvent le temps me manque
Et en outre c'était durant
Temps où le fil d'activités
Nous avait été retiré
Or, par moi-même je reviens
Dessus quelques écrits anciens
Pour voir si j'ai pu recueillir
Commentaires desquels me nourrir
Ghjslain
Si je n'ai pu t'écrire avant
C'est que souvent le temps me manque
Et en outre c'était durant
Temps où le fil d'activités
Nous avait été retiré
Or, par moi-même je reviens
Dessus quelques écrits anciens
Pour voir si j'ai pu recueillir
Commentaires desquels me nourrir
Ghjslain
Posté par
silverfox199
le 11/01/2023
Sonnet classique ?
Mais en quoi le sonnet classique n'est pas respecté ?
Mais en quoi le sonnet classique n'est pas respecté ?
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Beau compère Ghislain. Ouf! tu refais surface.
En gourmet de vers fins, devant toi je m'efface;
Tes poèmes brodés, je m'en fais un recueil.