Seule une minorité de silhouettes vit encore :
Le reste,
accablé du jour-le-jour. Comment les factures ? Les gosses programmés ou "Hop!" ? Les marques, le loyer, l'eau, l'électricité, le gaz, la bagnole, les assurances forcées, le téléphone, le dentiste, le médecin, les médicaments de " confort", les petits plaisirs à taux usuraires?...
Le reste : la majorité. Heureux, les zombies ?
Je me rappelle une époque où nous écrasions les fils de bourgeois avec leurs propres (savourer l'épithète) écrase-merdes (chaussures Weston) payées 50 sacs . Après digestion de leurs grolles, ils devaient se prosterner devant de très vieilles plantes.
Oh ! comme les filles se marraient quand on faisait avaler à ces héritiers leurs semelles de luxe. "Tu bouffes la distance, fils de riche, ne te reste qu'à dégueuler ton pouvoir... Non, non... On plaisante... Tiens : un Vittel-fraise..." Parce qu'on était gentils... idéalistes : nous croyions à la conscience. Ha ! Ha !
Sûr, on n'a pas fait progresser l'espèce. Mais on l'a cru comme du vent dans les cheveux (le casque n'était pas obligatoire).
Les filles se marraient
Commentaires (2)
Même aujourd'hui, ça me fait marrer.
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