On entre , on crie, et c'est la vie !
On court, on sort , et c'est la mort !
Nous naissons et grandissons comme nos dents, nos cheveux et nos illusions.....
Nous mourrons de même comme nos dents, nos cheveux et nos illusions
Sur la route©Ce texte est protégé par un copyright.
La Route
SACEM Alain Sorge
Sur la route qui nous mène
Tous au même endroit
Pas la peine que t’emmènes
Tout ça avec toi.
Tes problèmes et tes peines
laisses donc tout ça
Et le temps que tu perds
Ne reviendra pas
Alors que tu sois pauvre ou riche
Il faut pas que tu triches ca te servirait pas
Alors sache mon petit bonhomme
Ce que la vie te donne elle te le reprendra
Tout Ton argent, tous tes biens, Amour et copains
Tu les laiss’ras ici bas, Quand tu partiras
T’es là à présent, et demain,
Tu seras plus là
Faut te faire plaisir
Tu l’regretteras pas
Alors mon pauvre bonhomme
Il faut croquer la pomm’ comm’ une dernière fois
Alors, quand ton heure sonne
Sache qu’il n’y a personne qui t’accompagnera
Quand tu es au péage
Au super marché
Tu as la mauvaise file
Le mauvais caissier
La faute à pas de chance
il faut pas râler
Prends la vie comme elle vient
Sans te lamenter
Alors pense à ces pauvres hommes
Qui pleurent et frissonnent dans les hôpitaux
Alors faut que tu pardonnes
Si la route bouchonne et s’il ne fait pas beau.
Ton pain avec confiture
et ton pain beurré
qui tomberont, toujours
du mauvais côté
Faut que tu t’y fass’ bien sûr
C’est ta destinée
Aussi, prends donc ta vie
Que du bon côté
Alors que tu sois pauvre ou riche
Il faut pas qu’tu pleurniches ça ne changera pas
Alors mon petit ami
Il faudrait que t’en ris, La vie c’est comme ça
Tu es venu sur la terre
Tout nu comme un ver
Tu partiras au-delà
Dans le même état
Et alors pourquoi te faire
Autant de tracas
Car, toutes tes affaires
Tu les laisseras
Alors que tu sois pauvre ou riche
L’autre monde s’en fiche ça te servira pas
Alors sache mon pauvre ami
Qu’un’ fois mort dans ton lit, tu perdras tout ça
Alors que tu sois pauvre ou riche
L’autre monde s’en fiche ça te servira pas
Alors sache mon pauvre ami
Qu’un’ fois mort dans ton lit, tu ne te relèveras pas
Alors que tu sois pauvre ou riche
Du moment que tu existes Cela te suffira….
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