Par karmann eve
Texte daté de 2014/09/19
Terrain vague
à mon Figaro parti au paradisio des chats
Le vieux jour s 'est enfin tu
Finies les larmes glaciales que la terre a bu!
Etrangement une lune blafarde et crue
Epie de tout près un horizon nu!
Un chat égocentrique
A la couleur cadavérique
Patauge et claudique
A travers ce paysage fantastique..
Dans cette géographie primitive
Une petite hulotte attentive
Observe la silhouette fugitive
De ce chat à la dérive!
Ajouter un
commentaire
commentaire
L'Homme qui plantait des arbres