Toi, ma vie©Ce texte est protégé par un copyright.
Là je susurre à ton oreille
Tout ce qu’est l’amour d’une mère,
Unis dans l’aube encore vermeille
Cette tendresse nous agglomère.
De tout ce monde nous sommes loin,
Plongés dans l’or et la dentelle,
Tous deux sans l’ombre d’un besoin
Notre promesse est immortelle.
La vie sera pleine de chagrins,
Mais dans ton cœur, seul et fidèle,
Garde pour toi et pour dessein
Ce qui s’est dit ce beau matin,
Comme de tes yeux la prunelle.
Commentaires (4)
Posté par
Verbo
le 24/09/2012
L'amour d'une mère vaut tous les trésors, et vous le peignez de vers tout en or... tendre et émouvant.
Posté par
On'X
le 25/09/2012
Votre texte est d'une tendresse profonde. Le titre, si simple et évident, une vérité nue.
Je ne sais si le tableau de Klimt vous a inspirée ou s'il ne vient qu'en illustration, mais les deux se répondent divinement : une nouvelle vierge à l'enfant.
Je ne sais si le tableau de Klimt vous a inspirée ou s'il ne vient qu'en illustration, mais les deux se répondent divinement : une nouvelle vierge à l'enfant.
Posté par
hélène
le 26/09/2012
J'avoue savoir de quoi je parle ; c'est lui qui m'a inspiré oui, modestement.
Posté par
Loup gris
le 27/09/2012
J'aime les tableaux de Klimt, et celui-ci est parfait pour ce texte d'une d'une tendresse que tous les enfants du monde devrait connaître..
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Le macaron Ladurée