Voici le premier vers de conte-
civoila une histoire d'aujourd'hui, sans
soucielle commence par des vers et des rimes
aussivous en serez tout
éblouiou simplement très
abrutien buvant du
pipi en allant a
bobiniEncore faudrait-il que j'ai la
pépiOu avoir perdu la raison, depuis
midiIl m'arrive d'être
irréfléchiFace au miroir, mon reflet parfois
fuitsans effet de lumière il me
conduità entrevoir le mystère de la
nuitboue de gris sur la nuit de ses
ennuisbout de gris à ces jour de
pluiesMais vite, vite, sortez le
parabluieOu encore, mettez-vous à l'
abriSous cette vespasienne vert-de-
grisOù vous pourrez même y faire
pipiVous pourriez y rester ainsi
tapiJusqu'a`ce que les nuages se soient
tarisaprés la pluie, vers
minuitassurez vous de trouver un
taxiAu bar buvez un cognac
sile taxi se fait trop
attendreTu es bourré ou quoi ? Attendre rime en
endreEt pas en i. Qu'est-ce qui t'a
attendri ?
Mais reprenons notre formidable
encyclopédieDu i, tous les types de i existant sont
iciLe Y par exemple :
rempli,
Il ressemble à un verre à
chiantide ce chianti j'en boirai jusqu'a la
liemais non mes amis Italiens je vous
charrien'accable pas trop ces pauvres
spaghettisils sont déjà bien en peine avec leur
Berlusconnerieplus la ligue celle de
Lombardiemais est'elle Gianfranco
FiniArrêtons de parler de tous ces
abrutisL'Italie renferme des trésors tellement plus
jolisSois poli, mon monde, ce n'est pas celui d'
Attali.
La France lapidée, aux inérêts des Etats-
Unis c'est vrai qu'en Toscane, je suis
ebahialors de l'Arno, je m'
eblouisMon siècle, n'est pas celui de
SarkozyIl n'y a pas quand Sicile qu'on trouve des
maffiosisrésumons sarkozy, un peit nain qui sens le
pipiavec toute sa maille il se feras construire une grande
muraille et la rime en i ? Tu
dérailles !
Même carla bruni aurait
comprisc'est dire si les ex manequins sont comme on le
ditpois chiche avec un cul pour la
sodomiePour rester maigre, elle vénère son
vomiEt se façonne un monde d'
interditsVOILA DONC LA REPUBLIQUE ET SES
PERIPETIESQUI GENERE BIEN DES
SOUCISCette République n'est plus qu'une tragi-
comédieMais je pense que quelque chose de bien arrivera aujourd'
hui a vrai dire cher
aminous aimons la
vieNous sommes amoureux de la Vie, cette si belle
filleVivante, aimante, et tellement
jolie alors on oublie les
souciset puis on
ride voir passer toutes ces
sourisqui vont grignoter des
fusilliAH oui ces pates al-dente qque l'on
choisis je crois, dans des
epiceriesoui juste à coté du rayon
mercerieen dessous des
gniocchibien sur , aprés c'est
bijouterieavec la vendeuse qui
souritdomage elle ne vend pas de
rizmais que de la
verroterieil y a
aussides rayons remplis de
fruitsARRETEZ TOUT CE
BRUITIL EST DEJA
MINUITalors profitons de la
nuitdemain sera un autre jour d'autres
enviesPour l'heure je vais écouter Adamo, C'est ma
vieOu encore, Mario Pelchat... C'est la
vieviendra aprés l'instant d'
harmonieavec la serenité , de deux etres
reunisré"unis dans un seul
nidqui leur servirat de
litimage d'une
symphonieou l'amour est une
melodieou l'amour est une
melodieoù la vie est froide, c'est ce que mon congélo
ditsi le congelo le dit , voila un
soucireste la solution de la mort a
credità crédit ça vous
refroiditdis le froid qui vous
morditapres le froid la mort sera peut etre cette
amieque certains aiment a dire qu'ils l'
envieMais l'ennuie,c'Est que personne connais la
realitél'autre coté c'est sombre comme des enfant mal
traitémais de l'autre on voit une lumiere
brillercomme un diamant qui nous
eblouieainsi va la
vieun jour, une
enviede manger des
curlysur un
litou faire un calin a sa
cheriemais pas forcement dans un
litpeut-être en
Italieou en
Arménieou du coté de la froide
Siberieaprés un bain glacé vers
minuitou d'un bon
jacousiet une fois cela
finitla suite se passe dans le
litou quelque fois entre
amistelles sont les écrits quej'
apprécieinstantanément et drolement
construitset les lecteurs
eblouisauront des etoiles pour la
viesauf que la vie peut etre un
soucia part si vos amis vous
eblouitalors la le temps n' est pas a la
pluieet le soleil pour vous,
rejaillitmais si la meteo pose
soucije la braque et lui dit de mieux se comporter avec
autruiil pleut jusqu'à
mardi !
j'ai pas l'habitude de tout ce
grisavec moi no
soucisje te repeint tout avec des mots
amisoh oui, donne moi du rose bonbon, du bleu ciel ou du vert
aniset pour mes sols, j'irai chercher en Perse, mes
tapisparait que le temps est meilleur 1811 une guerre contre la
Russieesperons un tapis volant ilk parait que c'est plus
jolifaute de stocks
detruitsil ne reste que des hommes
demunisau point où certains se languissent les racines de
pissenlits j'aurais aimé un meilleur destin pour mes pauvres
petitstu sais chaque vie propose d'autres
enviespour tes petits ne te fais pas trop de
soucisc'est souvent ce qu'on me
ditmais l'avenir est tellement
indécispour nos ancien c'était pareil
aussiils ont vecu alors
prieoui, je pris, de toutes parts, Lui ouvre mon
espritmais entre ce que je demande et ce que je mérite, Il doit faire le
trije comprends ta douleur j'y
souscritje te souhaite le meilleur pour toi et tes
petitsje te remercie, c'est vraiment
gentilpour eux, j'espère le meilleur
aussicool, la vie continue avec sa seve et son
debitirriguant les organes de ton corps qui te donne l'
apetit l'appétit, il y a longtemps que je l'ai
ressentiet je meurs de faim aujourd'
huivas y mange devore t'es en
viemais n'oublie pas
ritOublie
ParisT'as faim ?
Kiri !
au besoin fais
guiliguiliavec tes
amiesje me permets un "lol arrête tes
conneries !"
voilà, vous avez gagné, j'ai
souriet quand tu ri je ri
aussiet la pas plus belle , la
vieplus belle, un court instant,
ouiune brève
éclaircieau milieu des soucis , une averse de
confetisfaire la fête sans a
priorisdansons tous ensemble un
sirtakien pensant aux pauvres grecs enivrés au
rakiah oui les pauvres !? c'est pas ce que j'aurai
ditje pense à d'autres, plus à plaindre aujourd'
huic'est souvent leurs
crisqui donnent aux nuits des
insomniesheureusement, des fois, j'
oublieaussi parce que je ne lis plus le journal, je ne suis jamais de son
avisparfois etre sourd est un vrai
alibije dis stop a la
connerieleur souffrance perce toutes
ouïesseuls les insensibles aux vies paisibles dorment bien la
nuittu sais j'en ai
deduisrien n'est simple , mais faut pas passer a coté de nos
enviesd'ailleurs je prendrais bien un peu de
radisquelqu'un en veut, c'est gratuit juste aujourd'
hui?
gratos tu dis l'
amic'est la fete alors ce
samedije veux le dire a
Henrimais mon portable n'a plus de
batteries !
lol quel
oublienméne avec toi aussi ton
parapluiela rime tue l'ennuie, à l'
infinimême à l'infinitif,et avec des pronoms
défini t'en est sur man , pour la rime avec un
ij'aurais cru, la rime qui donne des
soucis des soucis ?! je n'y crois
pas !
vous n'osez quand même pas dire ça ?! ce sont des a
prioris !
peut'etre ben que
ouipeut'etre ben que non, nous sommes tous en
sursisc'est sur,en sursis,en plus,je
survitendurcit par les soucis qui sentent le
roussi change d'air, prends un
parapluieet longe la côte , vers le
Touquetbonne idée,mais je préfère de loin,l'
Andalousieil y fait moins froid,et il y a moins de
pluiesc'est vrai l'espagne quel beau
payset n'oublie pas de prolonger , le Portugal l'est
aussioui,au Portugal les gens sont
gentilsmais le nord de l'Afrique m'attire
aussien fait t' es un voyageur
accomplije te souhaite de voyager en wagon-
litet de partir en bonne
compagnieMême avec la solitude, il ne faut pas entendre de
crisj'aimerais prendre l'air par ou est la
sortie ?
Tous c'est aboiement d'être vivant m'
éffrayent tu es rentré quelque part,tu devrais trouver la
sortiemoi je n'ai pas trouvé l'entrée,j'suis pas prêt de m'en
sortirce mur ne doit rime qu'en
Ine l'oubliez pas ,
amisCar sinon cette nuit, loups garous et
lamisViendront en ricanant, vous tirer de vos
litsExcusez moi pour mes anciennes Rimes , j'était
affaibli Ce mur est
indéfiniIl nous donne encore l'
envieDe s'acharné sur les mots et
oui !
Je dis Youpi! au retour de Sami, jeune
amiQui nous offre une joli rimes-
party !
Il serait bon que la douce
Marys'intéresse enfin à
luia moins qu'un autre petite
souriss'offre a lui pour la
vieNon mais regardez-le avec son air de
raviDe le crèche à qui on fait guili
guilic'est le santon
amide la creche il a l'air
épanouiSa petite voix innocente ressemble à un
gazouillisqui fera fondre, ici, tous ceux qui font dans la
poésieet puis il y a
aussiailleurs dans l'univers des êtres qui
crientpeu les entendent, leur égocentrisme est
inouïl'humain se câche souvent sous de beaux
habitstissu de soie, et
rubisils paradent a la sortie de la messe
ainsiemblèmes de tous les bénis oui-
ouiderrière tous leurs semblables
espritsPeut leur chaut, la souffrance d’
autruiSi eux, s’accrochent égoïstes, au confort de leurs
espritset pendant ce temps combien d'êtres en
sursisces castes devraient être
aboliesMais sans aucune guerre, c'es un gros
prixà la démocratie de trouver comment
faireEvelyne a la 2éme ligne faire ne fini pas en
Idommage c'était joliement
dit Heureusement que ce joli mur que j’avais
salinouga a su joliment faire, pour qu'il soit
rétabliLe mal fait est donc effacé,
finipas la peine de sortir outils et l'
établiil nous suffit de continuer, avec le
soucide faire rimer nos mots à l'
infiniRéconcilions nous devant un plat de
sushisEt ensemble, restons bons
amis.
quelle bonne idée Loup
grismais avec un verre de
ChiantiEt bien, voilà une tournure qui met en
appétit !
Puis-je être de la fête ? J’en serais
raviesans aucun doute charmante
amienous voila donc
reunieA ce festin, je vous le
garantinul ne pourra dire qu'il fut
proscriten quelque sorte
ouice festin donne des
enviesAlors qu'attendons nous pour ce verre d'eau de
vieentrons tous dans la danse et prenons du
plaisirEvelyne a la 2éme ligne faire ne fini pas en
Imais plaisir , est joliment
ditAh c'est plus fort que moi, je me suis donc
trahien ne pensant qu'au plaisir, en erreur je m'
induisMais j'en fais bien le
paride ce plaisir erroné tu auras
jouila belle Evelyne l'a
ditson plaisir est
iciAux bonne compagnies, je dois dire
merciJe ne dois pas m'en plaindre, je les trouve
exquisJe voudrais être au temps
jadisd'Evelyne, je serais le
marquisnobliau d'une contrée, j'ai
comprisje ne suis que valet d'un jeu bien
désuetNi désuet, si valet, charmant
sujetcomme ils sont doux ceux qui savent
jouerles i se sont donc fait
flouerMais loup gris sur leurs traces est
partiEt en bon limier, il a
réussiet nous a ramené ainsi sur le bon
cheminPauvre loup qui en i, perd son
latincar la belle Evelyne ne l'a pas
suiviNous sommes
étourdisimpatients de vouloir rimer avec le
ICe n'est pas là son moindre défaut, à l'
étourdieElle n'est pas seulement distraite, elle vous le
ditMais sa franchise nous
éblouitA la belle dame, tout est
permisceci étant
ditparlons d'éden de
paradisAdam et Eve qui ont
faillicroquer la pomme, nous voilà
puniset de ce fait, nous sommes
partisde ce lieu idyllique qui nous était
promishumains souvent on a
mentitDieu nous voulait parfait, vaste
fumisterieIl n'aurait pas désiré tant de
tromperienous avons eu notre chance, c'est
ditRien n’est jamais joué d’avance,
pardinous pouvons le faire changer d’
avisce n'est pas gagné, mais essayez , c'est tenté le
paradiset la le mec me dit , arrete de fumer, du
cannabisc'est le conseil imposé, choisir son
euphoriece que ce monsieur préconise, sinon, c'est plutôt la
sortieLa sortie de celui qui a
failli de l'amour de la belle n'a rien
comprisoui, j'ai maintenant bien
comprisla vie aime aussi les
étourdisd'antant plus que les étourdis aiment s'
évaporerla tête un peu en l'air, ils voisine ainsi, avec les
angesme voila dans un conte, je
mangepuis je me decide, j'attrape des
papillons Si ce n’est plus une chrysalide, c’est beau comme un
médaillon l'admirer avec délicatesse, respecter sa
beauténous nous sommes egarés, rimons en
ic'est ce qui demandé, et c'est
permisL'égarement c'est avoir l'esprit un peu
partidans les nuages souvent, c'est ce qu'il arrive à cette
étourdieah l'esprit, il en fait faire des
conneriesmais qu'elles sont
joliescomme les dés en plastique d'un noir
monopolyqui n'auraient sur leurs faces que des zéros
pointés C’est mérité ! pointer d’un zéro celle qui
oublieQue sur ce mur toujours la rime doit être en
Ioh evelyne commme c'est joliement
ditle nouveau auras bien
comprisAlors, donc, moi aussi, je me serais
méprisen croyant la rime libre de bien cacher son
prixce mur aurait éta monotone si toujours en
ILes petites bêtises lui donnent une patine
jolieavec le temps on se souviendra des
ecrisceux qui rimaient pas , et ceux qui avaient de l'
appetitet aussi ceux qui avaient de l'
espritmême les tout petits,
pardiEsprit, est-tu là, vraiment
ici ?
Fais nous signe, fantôme
transiparanormal , on frise la
folienous voila dans de beau draps,
pardiLa rime est trop tentante et je reviens
mardiC'est le jour le plus gras et mon corps a
mincioh pas d'ectoplasme, dans mon vaisseau
favoriIl y a aussi les anges, mais eux sont si
jolisles anges , oui, mais je prefere l'
aïolipar ces temps de gris , Marseille me
souritBon, puisque tu le
disnous descendons vers le
Midivers le midi , des jours avec , mais souvent sans
pluiemais des jours qui nous font aimer la
vie cette vie ou tout le monde m'
enviede pouvoir jouer les amoureux
transisjoue le jeu de l'amoureux
ebahil'amour est un joyaux
rubisMe feriez vous me faire dire
pubisdevant ces dames, de honte je serais
saisiDevant toutes les dames, devant Donald,
Daisycar ces maudits canards ont envahi nos
viesquel a propos, que le canard soit leur
amion se repose avant, pour aprés retourner au
lit croiriez vous qu'un loup aie
pâlidevant un canard tout
riquiquiFi, mais de quel canard, on veut parler
ici,
je comprends qu'a force de bombance on s'
alanguita trop s'exclamer cela nous
nuitla verité sur le canard, on l'
oublieUn palmipède si important qu'on le
publieet qui vient chaque jour frapper à votre
porteIl entre et en même temps, en lui, il
transportesa délicieuse chair, qui va se voir
confiteà moins que tout à coup quelqu'un le
ressuscitemais je m'égare encore loin de notre
Italiecar en Italie, beaucoup de mots en
ion ne triche pas avec
ceciet sous le soleil de
Caprice n'est jamais
finiEt voilà pour un tour c'est reparti, à l'
infiniLe I de fini, pourra être poursuivi pour la
vie.
rien ne s'arrete, c'est 24 heures avec ou sans
soucisla vie est ainsi, disent ceux qui l'
appreciemais je vais à l'instant poursuivre notre
récitloin des canards-laquais qu'ici l'on
déprécieSavoir apprécier, c'est aimer toujours la
vieMême difficile, pleurer toujours sur elle, ne lui donne pas
répitde ce pas je pars, mais ou donc , a
Parispourquoi pas , la capitale me donne des
enviesde toujours rester en
vieà contempler des
lavisou simplement oublier les
soucisla ville est une immense
féerietout ça parce que les fées y
rientdes fourmis qui s'entassent dans les
plisCest souvent dans la ville que son
accomplisDe belles oeurvres d'architecture qui rendent
raviset quand ravis au
litla suite prend de l'
appetit A Paris, pléthore de restaurants à ravi(au)
litCes petites tables comblent toutes les
enviesparis sera toujours
parisune ville de
gastronomieParis sera toujours
Parisdu moins c'est mon souhait que
ceciDans les rues, si nombreux que souvent ils se
scientOn aime moins cette ville quand vraiment on y
vitvérité que je ne
visétant plus prés d'une mer de
rubisJuste des petits moments, de cette ville
partisaprès vite, le besoin nous démange de revoir
ParisParis bien sûr chantonne, nos yeux sont
ravisVenant d'Orly, nos oreilles avaient
frémiOrly, avec Brel, le chanteur
partisous des Marquises
joliesOrly, de banlieue sud quand le soleil a
luiBrel, enrore inspiré, commençait l'
agonieOn peut fuir le réel jusqu'en
PatagonieIl faudra bien finir par les beaux
pissenlitssi belle fut la vie, si fort fût le
déni de la mort, en figure aimable de l'
enviejusqu'à ce qu'on soit raide, eh bien, l'on reste en
vieet la faucheuse, ma foi, si elle survient, tant
pisadvienne que pourra, c'est
ecritalors profite, evite l'
ennuichaque jour est nouveau, et le mieux c'est de
rireainsi, autant que possible, affronter un mauvais
destinaucune rime en i carton plein, j'attends ton
avisévelyne t'es au top , jamais tu ne
subisje devrais connaître le i, tellement je suis
ETOURDIEet pour cela, je demande instamment pardon à
Samipardon ,pardon , c'est facile , dixit la lettre
Iétourdie , étourdie, vous avez dit
étourdieAvec la lettre i, je me le suis
reditje vais au cinéma et demain c'est
lundiContinue ce Lundi ou un autre jour, en i toujours
finiEt moi par mégarde je nuis à une lettre si
aminci ?
je me dis que le lundi(au soleil) c'est le
paricar cette semaine sera , de
pluieAprès lundi, vient mardi, après le soleil vient la
pluieles jours se suivent, sans se ressembler, c'est la
viededuction qui ne fait pas un
pliEvelyne la semaine vous
sourriet le mois, j'espère, vous
nourrittandis que je regarde un film sur l'
Algériea ce beau
paysque de souvenirs ai-je
ouieDommage, je ne connais pas ce
Paysdonc point de souvenir, j'en suis
assombrieC'est un film sur la Guerre, et il fut
interditen France, on voit pourquoi et l'armée, on
mauditmoi je maudit Ibliss(nom de l'ange déchu "satant") et c'est
vicequi cherche a nous faire plonger au fond du
précipicela guerre d'
Algerieune abberation, il fallait laisser a ce peuple son
paysD'anges nous avons besoin, pour être
ravisqu'ils envoient les démons loins de nos
viessinon gare à l'épanchement de
synovieet nos genoux en perdraient l'
appétitce qui serait bien car ces articulations seraient
remplisd'un liquide innoportun qui les verrait
grossisTiens, justement, on n'a point vu Tino
Rossivenir pour soutenir Nicolas
Sarkozymais le gros depardieu
ebahipar le sarko
affaiblimais on dirait, dans les sondages, qu'il a
faiblitous les espoirs de renouveau sont donc
permisQuels espoirs vous voyez et avec
qui ?
Tous me paraissent tant
pervertisOn ne pourra pas dire qu'on n'est pas
averti…
Fukushima chez nous, ou bien Eva
Jolyevelyne le
ditpour qui , oui pour
quipour quelqu'un qui viendra nous serrer le
kikià nous, qui prenons tout comme si c'était
acquisserions nous donc des
amoindriserreur et tromperie, que
nennià vouloir trop entendre le cheval qui
henniton risque de goûter à son sabot
ferréComment ? prétendre que Léo Ferrré
hennitC'est parce que Jacques il vous a fait perdre le
iicare lui voler, cet
etourdison reve l'
eblouitIl faut dire aussi que ce i nous a
estourbicette lettre représentera Sami, sans
luisa vie certainement sans lui point ne
luitson rêve n'est pas de la voir en
miniil m'apparait opportun de dire
ouila semaine commence bien le
lundiet le dimanche elle se
finieEt pour certains, c'est ça l'
ennui.
pas de stress, on
ritc'est ça la
vieLe lundi, se réveillent toutes mes
enviesLas... souvent mardi elles se sont
évanouiesalors attend , peut etre que
jeudivoir samedi, tes envies seront a nouveau ce qui rythme ta
vieEt le dimanche alors, on l'
oublie ?
C'est pourtant un jour
bénibéni oui
ouiou béni celui qui l'a
dit peut être, mais pour les
petitsil y a aussi l'après midi du
mercrediLa semaine étant passé, il nous faut trouver une autre
sériequi donnera libre court, pour faire notre
poésieen attendant l'ultime
saisiedes amoureux
transisIl y a aussi des amoureux qui se sont
choisispour faire sourire un peu Jacques notre
amiet si do re
miavec fa sol la s'associe, la portée alors s'
inscritainsi donc va la vie, de musique elle nous
béniset des jours après jours elle nous mène vers l'
infinil'infini est vue de l'
espritla musique un art qui
reunitPour tout ce qui réunit, j'en
suis !
Pourquoi pas des surprise-
party ?
Pourquoi pas une soirée dans mon
lit?
Toute façon je n'ai pas
envieune surprise party, un lit, l'
harmoniequestion d'envie, voila une suggestion
assortie
votre taxi s'est endormi