Tu trouves, toi?
Tu ne trouves pas ça triste, toi, ce soir où même la nostalgie est comptable de son retard?
Retour sur soi, retour sur investissements évanescents: la plaine insolvable allègue une trahison d'étang. On comprend les sourires, les lames.
Pas d'illusions, allons, pas de présence entre foulard et colombe. Le jour vous appartient puisque c'est encore le jour.
Tu ne trouves pas ça triste, toi, ces yeux qui maraudent en terres lucides?
Commentaires (6)
Posté par
Jean-Mi
le 17/02/2010
Ca se comprend quand dire: "je suis triste." ne suffit pas.
Posté par
Hypolaïs Polyglotte
le 23/02/2010
Pour Didyme
Pour citer ceux qui ont de l'autorité, il y en a un (répondant au nom de Valéry crois-je) qui disait qu'il ne comprenait rien d'un texte qui ne lui résistait pas...
On n'est pas censé écrire ce que l'on sait déjà ou décrire ce que l'on voit déjà mais amener à sens inconnu et une vision nouvelle. Sinon on ne crée pas, on s'exprime.
Et puis si la vie et les sentiments sont opaques, comment pouvoir écrire quelque chose de lipide? Illusion du langage...
HypoPo
Pour citer ceux qui ont de l'autorité, il y en a un (répondant au nom de Valéry crois-je) qui disait qu'il ne comprenait rien d'un texte qui ne lui résistait pas...
On n'est pas censé écrire ce que l'on sait déjà ou décrire ce que l'on voit déjà mais amener à sens inconnu et une vision nouvelle. Sinon on ne crée pas, on s'exprime.
Et puis si la vie et les sentiments sont opaques, comment pouvoir écrire quelque chose de lipide? Illusion du langage...
HypoPo
Posté par
On'X
le 04/08/2011
Marauder en terres lucides : magnifiquement triste.
J'aimerais être toujours naïve.
J'aimerais être toujours naïve.
Posté par
FLORAPOESIE
le 05/08/2011
Bonjour Jean-Mi
Souvent je crains de tomber dans le gouffre de vos pensées.
Peut-être qu'il me faudrait regarder par trois fenêtres à la fois pour trouvé l'unité.Plutôt l'unicité poétique de vos vers.
Amitiés
Souvent je crains de tomber dans le gouffre de vos pensées.
Peut-être qu'il me faudrait regarder par trois fenêtres à la fois pour trouvé l'unité.Plutôt l'unicité poétique de vos vers.
Amitiés
Posté par
FLORAPOESIE
le 05/08/2011
J'ai ouvert trois fenêtres pour trouver:
Le temps présent reste solvable.
Une lame compresse le sourire.
Le Coercion annihile les oppositions.
Le symbole de la liberté est une coiffe à la mode.Plus besoin de blanches colombes.
Le prosélytisme prône l'humanisme.
Si je suis tombée dans le gouffre tant pis.
Amitiés
Le temps présent reste solvable.
Une lame compresse le sourire.
Le Coercion annihile les oppositions.
Le symbole de la liberté est une coiffe à la mode.Plus besoin de blanches colombes.
Le prosélytisme prône l'humanisme.
Si je suis tombée dans le gouffre tant pis.
Amitiés
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Je n'ai rien compris !!!