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Publication VS Promotion de la poésie
Une LE (Ligne Editoriale), texteBook n'en a pas. C'est normal, n'importe quel(le) poète peut y publier n'importe quel poème (à condition bien sûr de respecter les droits d'auteur, sinon c'est pan-pan cul-cul). On n'opère pas de choix, de sélection sur les textes comme le ferait une maison d'édition. Ca, c'est pour le paragraphe publication.
Abordons à présent l'aspect - nettement plus intéressant - de la médiatisation, l'accessibilité, la promotion. Il faut savoir que tous les textes publiés sur texteBook sont accessibles via le profil de l'auteur. C'est le droit inaliénable du cyber-poète. En sus, les textes bénéficient gracieusement de multiples zones d'accessibilité : annonces dans la gazette, liens dans le dico, dans Google, en page d'accueil texteBook et bientôt dans le fouineur de poèmes. Grâce à ça, certains textes publiés il y a bien longtemps sont encore fréquemment lus 😊 . Oui mais (car oui il y a un "mais", voire un "oui mais"), par un phénomène paradoxal de qualité?/popularité?, certains putaing de beaux poèmes restent très/trop peu lus/. C'est dommage. C'est pourquoi "je" (TexTaz, l'oiseau qui vous parle) se permettra - de manière totalement subjective - de mettre les pleins feux sur ces pépites restées parmi les alluvions, grâce à des CSV (Canaux Supplémentaires de Visibilité). A l'inverse, un texte qui risquerait de me déplumer1, et donc de me faire perdre de l'altitude puis m'écraser au sol comme une crêpe mi-cuite qui rate sa poêle, eh bien celui-là, je serais suicidaire d'en faire la promotion. Par exemple, ça peut concerner :
- ceux qui raillent Eve Angeli ;
- ceux qui dissimulent une propagande religieuse, politique ou commerciale ;
- ceux qui font l'apologie du foie gras.
- ...
Cette décision est totalement subjective. Inutile de râler parce qu'un de vos textes n'est plus promu.
1 : Sur texteBook, le terme "plume" est synonyme de "poète".
1. Commentaires (2)
Tant qu'à Vanessa Annelyse Ève Garcin, je ne la connais guère, moi je trip plutôt sur Mylène Farmer ou Françoise Hardy, mais loin de moi l'idée de vouloir la railler, en brunette ou en blonde.
Tant qu'aux canards, j'oserai les laisser au Paradis.
Et sur une note plus personnelle, j'espère bien ne pas vous déplumer mon cher TexTaz.