Triste jour où tu as fis le choix,
De fuir partir et oublier l'émoi.
Point de matins, points de mains.
Les lendemains se sont couchés,
Et toi, tu t'es enfuis pour te cacher.
Réalité amère, point de repaires.
Quand les réalités fusent, elles se diffusent.
Tel un éclair la vérité se fait reine.
L'alcool et l'ivresse éphémère l'ai trop gouté,
Paradis de quelques heures me suis dépourvu.
Dans mes victoires ai connu la défaite!
De vous à moi que coule t-il dans mes veines?
Tel ce corbeau noir, ces oiseaux, ces buses,
Ma paroles, mes mots, mes attitudes vous les avez notés!
Mais maintenant je suis téméraire et brandit le bras de la conquête!
Le désarroi s'est fait le roy d'un pays triste
L'inéluctable s'est fait promesse de ma détresse
La tristesse a envahi mon corps avec allégresse
Hélas le temps se fait présent
Au fil du temps, l 'on se surprend
A peu comprendre l'on attend!
Hélas le temps se fait présent
De vous à moi qui est l'absent?
Partir d'un geste nonchalant,
Quand coulent les veines, les peines du sang.
Vincent Belaribi Colin
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