Par jeannot
prose poétique
Hiver
Les arbres, dépouillés de leurs feuilles ,ressemblaient à des squelettes se dressant derrière l'épais brouillard qui noyait la forêt,dansaient un ballet lugubre.Je peinais à trouver mon chemin à travers ce mur opaque et silencieux.J'étais comme dans un cimetière sinistre.
Il faisait noir dans mon coeur.
Ajouter un
commentaire
commentaire