Il n'est pas question ici de deséspoire, bien au contraire. Le rappel de la mort, m'est un appui, Une source de motivation, à l'action, me rapellant que je n'ai pas tout mon temps ...
Compte à rebour©Ce texte est protégé par un copyright.
B.A.R.R.*
A chaque distractions, ma nature d'Homme, me reprend puis j'oubile.
Celle-ci me rappelle, de ne pas penser à me souvenir.
La Dounya* son labirynthe, ses attractions, me prennent puis me lie.
Elle me rappelle, d'oublier que ma nature d'Homme, est de mourrir.
A chaque fois que je me suis écouté, j'ai eu beau marcher, je ne suis pas allé bien loin.
L'apparat de la vie et ses méhandres, ont toujours finis par me reprendre par la main.
Ils me firent le coup de : "Ce qui t'incombe, peut bien t'attendre, remet le donc à demain."; "La vie est longue, saches qu'il te reste encore du chemin."
Lorsque tu constate le restant d'encre à ton stylo, quand à sa durée de vie; tu te tranqulise,
pourtant il se peut que sa bille, soit sur son dernier tour.
Lorsque la vie, trompeuse, de derrière te vise, de devant te fait la bise;
tu délaisse l'idée que pour chaque choses, le temps compte à rebour.
Le sol stable, fixe, sous tes pieds posés, te rassure,
tu ne crois que ce que tu vois; ainsi selon tes yeux, il n'est pas près de partir.
Je t'annonce, donc qu'il faut juste que tu te détrompe, car il t'aura à l'usure.
Contrains par ton temps, c'est toi, qui finiras par partir.
Certains n'ont-il que pensés, à penser, s'en souvenir ?
De sa science l'homme cultivé, par orgueuil se complait.
Quand à l'acceptation d'un point de vu adverse, son esprit affiche complet.
Celui qui sait, sait-il vraiment, si de son savoir il n'a rien fait ?
Même la vache, par préscience, ne consomme ce qui lui est un méfait.
Ainsi audessus de l'animal, l'homme, mais de sa conscience au final, qu'aura-t-il fait ?
*Dounya: Monde térreste
Cartouche de Stylhaut
*Bismillahi Ar Rahmâni Ar Rahîm.
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